promenade citadine

Publié le par Matthieu

Je me suis levé à 6h00, ai roulé jusqu'à Tresses (une bonne demi-heure pour trouver). Arrivé là-bas, ai attendu le chef de chantier. Pour apprendre que finalement ils n'avaient pas besoin de moi. Retour à Bordeaux dans les bouchons, retour à l'appart (jai fait sursauter Caro qui ne s'attendait pas à me voir réapparaître si tôt).
Puis, de guerre lasse et d'humeur marcheuse, j'ai rempli mon sac à dos (chèche, pommes, eau, appareil photo...) et je suis parti marcher. De chez moi au Hangar 19, une petite heure en prenant mon temps pour photographier quelques trucs sympas au passage.
Sur le retour arrêt chez Fram sur les allées de Tourny pour faire un coucou à ma Sido adorée. Au final elle m'a même invité au chinois (Ah Mme Li, quel caractère! Mais quelle nourriture!).
Puis rapide passage chez Voyageurs du Monde où j'ai annoncé mon départ imminent. On m'y répondit que l'embauche prévue pouvait attendre mon retour, ça tombe plutôt bien.
Retour à l'appart en tram, je ne sentais plus mes pieds (j'avais gardé mes grosses chaussettes que j'avais mis pour mes chaussures de sécurité, dans mes chaussures de trek elles me torturent les pieds.
Quelques clichés:

Publié dans Diary

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C
non je suis pas malade et puis il faisait pas si froid que ça et il pleuvait même pas.Et d'abord S. Beckett était un grand monsieur, son Waiting For Godot est excellent et je le recommande à tous ceux qui supportent de lire un bouquin où il ne se passe pas grand chose mais où les sous-entendus et les idées apportées sont brillants.tchoMatt
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B
Ah ben c'est malin, tu me fais penser à Beckett dès le matin, avec tes monsieurs ensevelis jusqu'au cou ! ("Ô les beaux jours")et pis sinon t'es fou de te ballader quand il fait un temps pareil....
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